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 D'étranges lueurs... |  - C'est une sorte d'orage domestique qui jaillit d'une caisse sombre. S'éclaireraient-ils avec des éclairs ?
- J'étais sûr que la société ferait des progrès et le progrès des avancées, commenta Monnier ébloui. Raconte, Sorin!
- C'est un cinématographe qui garde les images collées sur sa vitre. Et coloriées comme les belles cartes postales, ces visions ! Et qui parlent en plus !
[...] Ils disent quelque chose comme Rouanda. Et c'est pas de la joie. Ne bougez plus ! À côté de la boîte noire, je vois un civil. Sur un fauteuil, une petite grenade plate à la main. Attention ! Il appuie dessus ! _____________________________________________________ Ce passage est marrant car il y a un décalage entre les soldats et le garçon. Les Poilus ne connaissent pas la télé et ils imaginent avec leurs mots ce que ça peut être. Ils sont stupéfaits et croient que ça a un effet néfaste ; ils sont tellement traumatisés par la guerre qu'ils croient que la télécommande est une grenade ! |
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