 Bibliographie sur la guerre 14-18 |  | Quelques références bibliographiques et cinématographiques autour du conflit. Cliquez sur l'image. |
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 | |  | | La nuit d'avril 1915 |  | Poème de Guillaume Apollinaire | |
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 Une correspondance fictive sur la première guerre mondiale |  Après la lecture de divers textes ( lettres, romans, Bandes-dessinées, album...) sur la première guerre mondiale, les élèves ont écrit une correspondance en prenant l'identité d'un personnage qui aurait vécu pendant la première guerre mondiale. Ils sont devenus le temps de quelques lettres, infirmières, jeunes poilus sur le front , institutrices, ouvrières à l'usine d'obus...
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 lettres de Marian et Camille | Paul (Marian) est un jeune père de famille originaire de Picardie ; mécanicien automobile, avant la guerre, il est envoyé à Verdun. Colette (Camille) est une jeune femme de 18 ans ; elle s'est proposée pour être la marraine de guerre d'un soldat.
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 lettres de Jordy et Maryam | Pierre (Jordy) est artilleur. Il travaillait à la ferme avec sa mère et s'est marié juste avant de partir.
Louise (Maryam) est la mère de Paul. Mère de quatre enfants, elle vient de perdre son mari, tué au front. |
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 lettres d'Anaïs et de Laurie | Claire ( Anaïs) a deux frères Gaston et Gaspard partis au front. Elle correspond avec sa sœur Adèle. Son mari Gauthier se bat au chemin des dames.
Adèle (Laurie) s'est engagée comme infirmière après la mort de son mari Frédéric. Mère d'une petite fille elle cherche à se rendre utile auprès des soldats.
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 lettres de Chloé et Grégory | Valentine ( Chloé) a vingt ans quand son mari Antoine est mobilisé. Elle attend leur premier enfant. Suite au départ de son époux, elle a repris la gérance de leur épicerie à Grenoble.
Antoine (Grégory) est épicier quand la guerre éclate. Mobilisé aux Chemin des dames il connaît l'enfer et se raccroche à l'espoir de revoir sa femme et de connaître son enfant. |
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 lettres de Stéphanie et Christophe | Saturnine ( Stéphanie) a vingt et un an ; mère d'un enfant elle prend en charge sa famille. Son mari sera tué en avril 1918.
Henri (Christophe) est un jeune officier mobilisé comme ingénieur. Il sera tué en avril 1918 par un obus lors d'une mission de reconnaissance. |
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 lettres de Valentin et Jeanne | Hippolyte (Valentin) est l'aîné et le seul garçon d'une famille de quatre enfants. Son père infirme a été démobilisé. Il connaît l'enfer de Verdun.
Marie (Jeanne) est la sœur aînée de la famille. Depuis que son frère Hippolyte est parti, elle prend en charge la famille et assume la plupart des tâches. |
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 lettres de Ludivine et Ophélie | Madeleine (Ludivine) est restée seule et assure la subsistance de sa famille grâce aux produits de sa ferme. Elle correspond avec sa fille institutrice à la campagne.
Mathilde (Ophélie) réalise son rêve : être institutrice ! Mais elle prend ses fonctions dans un petit village lorrain, loin de siens et trop proche des combats. |
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 lettre de Chloé et Angélina | Rose (Chloé ) aide sa mère dans le village où elle est née. Elle connaît l'occupation et la réquisition des Allemands.
Aurore (Angélina) l'aînée de la famille travaille à l'usine. Elle subvient ainsi aux besoins de sa famille.
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 lettre de Caroline et Marie D. | Apolline ( Caroline) s'est engagée comme infirmière près de Verdun. Elle correspond avec sa jeune sœur de quinze ans et essaye de la rassurer.
Anne (Marie D.) a quinze ans quand la guerre éclate et lui enlève ses frères et son père. Restée seule avec sa mère elle cherche dans les lettres de sa sœur un peu de réconfort. |
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 lettres de Cassandra et Alicia | Marguerite (Cassandra) est mère de quatre enfants. Elle attend le cinquième quand elle apprend la mort de son fils aîné Maxence. Elle écrit à a sa fille pour lui faire part de son désarroi.
Vincianne (Alicia) travaille en usine. Malgré la difficulté de son travail, elle tente à distance de réconforter sa mère. |
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 lettres de Marie M. et Margaux | A quinze ans, Agathe (Marie M.) vit à Paris. Fille d'un commandant de l'armée française, très admirative de son père et nourrie de patriotisme, elle a une vision très partiale du conflit ; elle correspond avec sa cousine qui vit à Vimy.
Léonie (Margaux) a quinze ans et adore sa cousine parisienne. Son témoignage offre un autre visage de la France, celui d'un village occupé où les privations sont grandes et les préoccupations moins futiles que celles de sa cousine.
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