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 les soldats | De l'un était partie la moitié du visage. À l'autre, manquait une main, un œil. Des jambes presque emportées. Et cette boue séchée en plaques et toute cette poussière autour des molletières. Des pieds nus rétrécis par la terreur, orphelins de leurs godillots. Et tous ces fusils, certains tordus, d'autres fondus dans des mains qui s'agrippaient encore. Ca décrit les soldats à la guerre et l'horreur de leurs blessures ; Pef veut peut être montrer que cette guerre était une vraie "boucherie". |
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